"2 h 30 ! Le concert a duré deux heures et demi.
Autant dire que les spectateurs présents hier soir au Cabaret Sauvage, en ont eu pour leur argent. Le toujours sémillant Popa Chubby les a régalés d'une prestation d'une longueur comme on en voit rarement. Et il a été bien applaudi par un public conquis d'avance.
Je me faisais pour ma part une joie de voir le Popa car, malgré ses incessants relevés de compteur dans notre pays depuis une bonne décennie, je l'avais toujours raté. Cette fois, c'était la bonne.Et je dois dire que j'ai pas été déçu, même si je ne partage pas complètement l'enthousiasme délirant d'une bonne partie de l'assistance.
Je m'explique. Si le virtuose new-yorkais a sorti ces dernières années de très bons albums (dont le dernier en date, "The Fight Is On"), il ne les joue quasiment pas sur scène. Il fait étrangement l'impasse sur nombre de ses compositions, leur préférant une pléthore de reprises. La première d'entre elles, hier soir, a été le "Halleluhah" de Leonard Cohen, déjà repris à de multiples reprises, de Jeff Buckley à Pain Of Salvation. Mais ensuite, bonjour le festival Jimi Hendrix : "Hey Joe", "Foxy lady", 'Burnng of the midnight lamp", "The wind cries Mary", et même une somptueuse version de "Little wing", à laquelle a succédé une inattendue reprise du "Ace of spades" de Motörhead (qui figure en fin de "The Fight Is On"). Bonjour la transition !
Autre petit regret, la durée des morceaux, souvent très très rallongés, à l'image du seul rappel, un instrumental aux multiples fausses fins. Popa devait être trop content d'être parmi nous, d'autant que deux charmantes spectatrices munies de cornes clignotantes à la AC/DC lui avaient rendu visite sur scène..."
Je m'explique. Si le virtuose new-yorkais a sorti ces dernières années de très bons albums (dont le dernier en date, "The Fight Is On"), il ne les joue quasiment pas sur scène. Il fait étrangement l'impasse sur nombre de ses compositions, leur préférant une pléthore de reprises. La première d'entre elles, hier soir, a été le "Halleluhah" de Leonard Cohen, déjà repris à de multiples reprises, de Jeff Buckley à Pain Of Salvation. Mais ensuite, bonjour le festival Jimi Hendrix : "Hey Joe", "Foxy lady", 'Burnng of the midnight lamp", "The wind cries Mary", et même une somptueuse version de "Little wing", à laquelle a succédé une inattendue reprise du "Ace of spades" de Motörhead (qui figure en fin de "The Fight Is On"). Bonjour la transition !
Autre petit regret, la durée des morceaux, souvent très très rallongés, à l'image du seul rappel, un instrumental aux multiples fausses fins. Popa devait être trop content d'être parmi nous, d'autant que deux charmantes spectatrices munies de cornes clignotantes à la AC/DC lui avaient rendu visite sur scène..."
Michel Valentin
http://blog.leparisien.fr/rocknroll/
Popa Chubby : Red House au Cabaret Sauvage :
Liste des Morceaux :
01 : Intro
02 : It's About You
03 : Already Stoned
04 : Hey Joe
05 : Hallelujah
06
07 : The Fight Is On
08 : Grown Man Crying Blues
09
10 : The Wind Cries Mary
11 : Catfish Blues
12 : Instrumental Jam with Bass & Drums Solos
13 : Foxy Lady
14 : Burning Of The Midnight Lamp
15 : Noise Making Love Machine
16 : Another Ten Years Gone
17 : May Be Right Or Wrong
18 : "Devil Girls" > Little Wing
19 : Aces Of Spade
20 : Encore Break
21
A Telecharger (Download) : ICI
super, je l'ai vu plusieurs fois en concert, c'est une bete de scene.
RépondreSupprimermerci pour ce live
Thank you very much.
RépondreSupprimer